Table de titres et des matières de Capys.wordpress
Ce blog a été ouvert le 30 mai 2012 ; je l’ai clôturé le 4 juin 2018. Il contient 141 articles.
Péroraison
Comme le laisse penser le nom de Capys (ce personnage qui refusait de laisser entrer dans la ville de Troie le « cheval » de bois grec), dès l’abord, il s’agissait de s’occuper de la VALEUR qui s’est introduite dans nos vies à saturation ; tandis que cette occupation a fini par la découverte de l’importance de la PLUS-VALUE dans cette « valeur » qui n’en est que le support, hé oui. Selon moi, c’est un apport majeur à l’humanité dans ses tentatives de se sortir de sa misère affective, sociale et sexuelle.
La valeur est un affect inhérent à l’humain. Cet animal qui a peu compris de lui-même a trop peu compris l’importance de cet affect sur son existence en tant que groupe et individus. Se serait même la valeur comme affect qui empêcherait de déceler la plus-value qui (si cela ne sonnait pas trop chrétien, je dirais) l’affecte dans une expression moins oppressive, par sa recherche de pouvoir, du « + » (on a même eu du « toujours + », du « + pour du + », etc.) en vue d’écarter de l’entendement cette tare qui alourdit au désastre l’humanité, jusque dans nos lits, nos filles et nos compagnes, l’air, l’eau, les océans.
La plus-value se cache derrière le petit doigt du capitalisme qui, lui-même, cache derrière son petit doigt le patriarcat en mouvement. Le petit doigt du capitalisme est très gros, on le sait. Mais on évite de voir son action (comme le mouvement du patriarcat) dans ce désir de dominer autrui (au lieu d’en recherche un commun jouissif), de trouver à se sur-valoir, soi pour retrouver dans le regard des autres la peur ou l’admiration des peureux qui n’ont plus conscience de leur peur car leur regard doux veut éviter les coups et se mettre le chef dans la poche. Des gens écrivent beaucoup sur la valeur et le travail, en ne voulant rien reconnaître de leurs aspects affectifs, affectivement sociaux, comme relation socialement affective.
La plus-value est ce qui dégrade la personne de sorte qu’il ne lui reste plus que l’objet comme moyen de compensation, et l’objet comme appartenance, personnel, uniquement à elle ; ce qui lui donne le pouvoir de commander sur cet objet. La plus-valu est à la fois un moteur et un outil, c’est le moteur qui fait avancer l’outil et l’outil qui demande ce moteur.
La plus-valeur peut paraitre complexe, mais c’est d’abord une représentation de soi dans le monde et du monde en soi : l’humain n’est que représentation.
D’avoir procédé à la distinction de la valeur organique de la valeur minéralisée permet, selon moi, d’éviter de donner jamais une plus-value à tout ce qui regarde cet organique, et même de cesser de minéraliser la valeur, cet affect humain indispensable à la grégarité, comme facteur de cohérence et de plaisir sociaux. En évitant le « sentiment », nos amis qui travaillent depuis si longtemps sur ce sujet, ont évité dès l’abord, la valeur organique (ce qui ressemble à la confusion nourrie entre la propriété collective et personnelle que le pouvoir entretient pour vous soustraire de tout, à quelques broutilles près). Le lecteur verra que j’aime la chair et c’est sans doute cet ancrage (en sus de mon obstination…) qui a induit cette découverte : je ne veux rien qui ne soit incarné. Déjà que l’humain n’est que représentation, s’il perd la chair, il est mort… et elle aussi.
Quand je parle de communion, je ne parle pas de celle qui vous demande de vous extraire de vous pour atteindre au mélange des cieux, je cause de celle qui m’unit à autrui par les liens de la grégarité. L’humain (comme l’a remarqué W. Reich) a peur des effets de la chair, des émotions. Il cherchera en conséquence à trouver ailleurs qu’en ce qu’il ressent en lui, une minéralisation de cette émotion pour qu’elle cesse de l’effrayer en lui. Par cet étrange évitement, il se minéralise aussi bien, car ce sera toujours en lui que l’émotion sera vécue pour la taire. Ainsi, je me suis vu confronté à des théoriciens qui ne voulaient rien savoir du « sexe » (comme ils disent), de la chair en mouvement. J’espère que par cette découverte de la minéralisation de la communion dans la plus-value, on trouvera un moyen simple, élémentaire, de pouvoir mieux s’y consacrer, à cette chair. ; car sans elle, point de salut. C’est ce dédain pour la chair que cet humain à la cérébralité si étonnante ne sait pas même se préoccuper, par avance, dans ce qu’il crée des déchets que son activité va produire ; comme il ne sait pas mieux s’occuper de ceux qu’il produit devant ses yeux, son nez, sa peau, son monde de chiottes radioactives, chimiques, d’-icides, de plastiques, de travail.
L’avant dernier article (La plus-value comme auto-care actor – titre résumant le fait que le caractère de la plus-value s’auto-entretient dans ses fuites caractérielles) n’est pas véritablement achevé. Il aurait fallu que je m’étende sur les diverses compensations sociales et affectives, sexuelles de la plus-value, en plus précis que je ne l’avais fait auparavant. Mais, comme je l’ai dit : le sujet commençait à me brouter et quel intérêt l’humain va-t-il trouver à mes dire ? Il s’éloignera en courant plutôt que de regarder dans le miroir que je lui présente, ce qu’il lui faudrait entreprendre pour que sa misère s’amenuise ou aille, même, jusqu’à disparaître. Non pas que les disputes disparaitront, mais au moins la plus-value.
Je vous souhaite la réciprocité amoureuse, d’apprendre à se dévier de la jalousie et de participer au bonheur du monde !
Le 8 juin 2018
Fin de ce blog
La plus-value comme auto-care actor
Plus-value : la colle à gêne
La plus-value vaille que taille
La plus-value comme pingritude
La part rôle et l’hymne âge
La plus-value comme représentation
La plus-value et ses deux vents
Comment tarter
Pro bât tôt d’institution
Le discriminant du sur-plu
La miss ère du string
Pour une histoire de la pensée
Dans mon rêve
L’artificiel du minéral
Patriarcat : l’intendant
Patriarcat : la chéfitude
Écrin rouge
Le patriarcat comme astreinte à l’inadaptation
Patriarcat : démission de l’empathie
Le patriarcat et la mésempathie : 2 – le sbire et le larbin comme séparation
Le patriarcat et la mésempathie : 1 – le sbire et le larbin comme opérande
Leçon sommaire d’anti-patriarcat
Le patriarcat comme terreur
L’emprise sociale de la petite connerie
Le patriarcat comme aliénation sociale, c’est-à-dire, sexuelle
Le dur mou du patriarcat
Patriarcat et environnement
Des fades heures du patriarcat
Le « Garde-à-vous ! » du patriarcat
Les ornières du patriarcat
Chaque jour que je passe de ma vie, je le soustrais de la pérennité du patriarcat
La vis de la mort
Le temps comme déchet
Le temps au fil du temps
Le temps qui passe temps
Le temps de temps en temps
Dans le bruissement léger de ces feuilles brouillonnes
Patriarcapitalisme
La rocade est circulaire, mais ici il n’y a qu’une entrée
Technolicide social
Parti chercher la lune
L’écluse d’aval
Transologie 3
Transologie 2
Transologie 1
La détransiation
Après que de la chair
Le travail comme substitut à la masturbation
L’agrégation humaine
Critique de la morale de la solitude
Le dégrisement de l’occupation
Valeur : résumé des chapitres précédents
Le travail comme avaleur de l’occupation
Inflammation de classe et cuirasse
Con sentant ou tire « han ! » ?
Bactéries et mitochondries
Malades de la maladie
La jalousie de la valeur
La récompense de la vie, c’est le plaisir
Techno du profit
Maître Soleil sur son horizon perché
Ovni or not ovni ?
Es poire de gain
La crampe du vouloir
La couleuvre du mirage
Régrès du mature
De l’empathie devenue mesquine
Le « i » de la verge
Cré non de diou : on continue !
Une telle ligence à la production du profit est peu intelligente
Hanté-Christ et post-vie
la mystique du manque et l’angoisse persistante
Matière de l’anti-matière
Fond vert de chef teint
Bout de nuit
Souris de montagne
De loin, AnnA
Voie du si-elle sinon rien
Espoir vague
Ce que je demande
AnnA encore une fois
Le minet né râle et l’or gaga nique
Le 5 (cinq) mars 2016
Bonjour l’ambiance
L’impôt de l’abstinence
Allez ! un petit verre de névroglie !
Le conte modernisé
L’angoisse d’orgasme, socialement
Ai-je bien ma place sous le soleil de l’amour ?
L’immaturité du refus de l’interdépendance
Détente de l’hypogastrique
Contribution à l’étude de la cuirasse caractérielle de Wilhelm Reich
Une petite note sur l’emploi des mots « génitalité », « caractère génital » et « caractère mature »
Le jeu du je amoureux
Sur les termes de « castration » et de « génitalité »
Les flammes de la cuirasse
Une question… mais laquelle ?
Le mal comme référence illusoire
Le monstre de l’angoisse
La prison du désespoir
La führeur de l’espoir
Psychanalyse et morale sexuelle
Les plaies du plaisir, Sir
Dix simulations du vrai
Pêche mêle bas
Heurts divers relatifs à l’heure d’été
Quelle forme ?
La planète du Singe
Un outil de la grégarité
L’illucidité de Lucy
Point de départ sans initial
Solitude : approche 3
Solitude : approche 2
À AnnA
Démonstration de genèse de la souffrance de l’âme humaine par celle de la solitude
La pompe grinçante
De la solitude : approche
Le poux secoue du vent devant la marée nue pour empêcher les vagues
Bio 7
Dernier virage avant la sortie
Le cache-sexe de la valeur
La cuirasse de la valeur
L’inertie de la valeur est puissante tandis qu’elle oblige à l’immobilité.
Désirabilité de la valeur
La valeur en 4 temps
Sur quoi le pouvoir règne-t-il ?
Le pris de l’âme
Que faire ?
Un peu dé désordre ! que diable !!!
L’excitation, le plaisir et l’angoisse
Le diable et son odeur.
La valeur est la solution inappropriée d’un conflit
« Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine… »
De la marchandisation de la duoté
Criardes gardes
L’ébauche hasardée
Absolument inutile
L’homme est un cheval pour l’homme.
Un sensé
Bonjour, en guise d’introduction